En ce quatrième dimanche de carême, le doyen Bertrand nous a fait vivre une visualisation méditative très émouvante de la Terre, dans toute sa beauté et avec toutes ses blessures. Il nous a invités à prier pour notre planète, mais aussi à nous impliquer activement dans sa guérison, par le plaidoyer tant que par l’action directe, selon nos capacités.
Le plaidoyer, bien sûr, signifie “dire la vérité aux pouvoirs”, ne serait-ce qu’en signant une pétition d’un clic de souris. Mais c’est particulièrement agréable lorsque nous sommes capables d’amener le pouvoir à se dire la vérité à lui-même. Il existe un dicton inspirant selon lequel “un ami est quelqu’un qui connaît la chanson de votre cœur et vous la rechante lorsque vous en avez oublié les paroles”. Je pense que nous avons touché une corde sensible dans le cœur de l’honorable Marc Garneau lorsque, lors d’une récente réunion, nous lui avons demandé de revisiter l’un de ses voyages, à travers ses propres photographies et ses propres mots (sous-titre en français).